COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CIRT

LE 9 JUIN 2 011

 

 

Absences.

Parmi les élus, Madame Montcourtois était absente ; aucun des deux citoyens, Monsieur Bottin et Madame Lapierre, n’étaient présents ; concernant les administratifs, Monsieur Michel étant en vacances était remplacé par Monsieur Benisti. Enfin, toujours aucun acteur économique, d’ailleurs le responsable de Hanier-Plaisance qui avait été nommé mais n’était jamais venu ne viendra pas, puisque cette entreprise est en dépôt de bilan. En revanche, la Chambre du Commerce et de l’Industrie, contactée, envisage son implication à condition de disposer de davantage d’éléments ; un courrier leur sera envoyé pour présenter le dispositif et le travail du Comité, et il est demandé à Hervé, en tant que vice-président du Comité, de le cosigner afin de manifester l’implication du mouvement associatif. Pourquoi pas ?

Déclaration liminaire.

Yves a fait une déclaration liminaire au nom de notre association. On en trouvera le texte ci-joint. Madame Taillé-Polian a fait une réponse immédiate et détaillée, dans laquelle il ressort que :

Ø  Concernant le rendez-vous que nous demandions pour traiter de tous ces dysfonctionnements en amont de la réunion du CIRT, elle souhaitait la présence de Monsieur Michel et de Monsieur Ginsburger, mais ils étaient en vacances, d’où la date proposée, après le CIRT.

Ø  Concernant le compte rendu de la réunion de décembre, il s’agit d’un vrai loupé dont elle assume la responsabilité, puisqu’il était prêt depuis longtemps.

Ø  Concernant l’expo de FNE, et la lenteur à la mettre en place, elle admet que la collectivité territoriale est lente à réagir, mais qu’il n’est pas évident de trouver une semaine au cours de laquelle la salle culturelle est disponible en continu.

Ø  Concernant la stratégie pour faire connaître le CIRT et son travail, elle nous répond que l’expo FNE sera une bonne occasion pour communiquer sur ce sujet, que les comptes rendus de réunion dans VNV ne passeront jamais, parce qu’il y a déjà trop d’infos à y passer. En revanche, elle admet que l’entrée CIRT sur le site web de la ville est une idée à reprendre.

Ø  Concernant notre proposition d’organiser la conférence-débat sur Fukushima sous l’égide du CIRT, elle déplore que nous n’ayons pas eu la réponse, puisqu’elle avait donné la consigne de nous répondre, et de nous répondre qu’elle n’y était pas favorable, s’agissant d’un débat qui est davantage du ressort d’une association ou d’un parti politique, et pas d’une instance municipale.

Ø  Concernant le refus de transmettre l’organigramme municipal, elle confirme ce que nous avait dit son secrétariat, c’est-à-dire qu’un tel organigramme n’existe pas. Elle nous incite à passer systématiquement par elle pour le politique, et par Monsieur Ginsburger pour l’administratif.

Ø  Concernant l’intégration de nos propositions d’amendements dans le projet de charte, cela faisait l’objet du point suivant de l’ordre du jour.

Projet de charte.

La discussion, au cours de laquelle nous avons montré que nombre de nos amendements, pourtant acceptés lors de la réunion de décembre, n’avaient pas été intégrés dans le document fourni pour cette réunion, a mis en lumière que ce document, transmis aux membres du CIRT avec la convocation, n’était pas le bon, que Madame Taillé-Polian était en possession d’un document où les amendements acceptés avaient bien été intégrés, mais elle était la seule… Elle s’est confondue en excuses, excuses que nous avons acceptées, face à ce dysfonctionnement manifeste de ses services.

La suite du processus devrait être la suivante : un document correct sera proposé, présenté au vice-président du CIRT (Hervé) pour validation, puis présenté fin juin pour un premier avis aux opérateurs de téléphonie mobile. Ensuite, une réunion du CIRT permettra à chacun, association et individus, de donner un avis sur le projet de texte. Puis celui-ci sera présenté au bureau municipal, mi septembre dans le meilleur des cas, pour passage au Conseil Municipal de novembre. Allez savoir pourquoi nous sommes sceptiques sur la tenue de ce calendrier…

Expo FNE.

Elle pourrait se tenir dans la salle culturelle de la médiathèque, la semaine du mardi 18 octobre au samedi 22 octobre (rappelons que la médiathèque est fermée le lundi). Il s’agit de la semaine précédant les vacances scolaires de Toussaint. Monsieur Ginsburger se tient en contact avec FNE pour savoir si l’expo est disponible à cette date, et si les conférenciers sollicités (Maryse Arditi et Marc Sénant) sont disponibles, sachant que la conférence-débat pourrait se tenir le jeudi soir.

L’expo serait ouverte aux heures d’ouverture de la médiathèque. Mais une communication sera faite dès le rentrée de septembre en direction des collèges de Villejuif, et des lycées proches (Darius Milhaud et Adolphe Chérioux), afin d’inciter à des visites scolaires, qui pourraient se tenir en-dehors de ces horaires, une ouverture exceptionnelle de la salle étant possible dans ce cadre. Nous avons indiqué que nous nous engagions à assurer certaines heures de permanence dans la salle d’exposition, en particulier lors de visites scolaires. Si nous ne sommes pas présents, un agent municipal y sera, raison pour laquelle on nous demande un planning de présence dès la rentrée de septembre à des fins d’organisation.

Pour la conférence, Madame Taillé-Polian pense inviter, en plus des 2 intervenants que nous avons proposés, un syndicaliste CGT qui puisse apporter le point de vue des salariés face aux risques industriels.

Bilan du wifi dans les parcs municipaux.

Nous avions demandé ce bilan. Il nous a été indiqué que le service informatique de la mairie, étant pris par d’autres tâches, n’a pas pu effectuer un bilan où les données brutes seraient traitées. Nous n’avons obtenu qu’un chiffre, mais qui nous satisfait amplement : entre l’ouverture de ce service et la fin 2 010, le nombre de connexions s’établit à une moyenne de 63 par mois. Pour 4 parcs. Ce qui fait 2 par jour pour les 4 parcs, et donc ½ par jour et par parc. Il est vrai qu’il y a moins de connexions l’hiver que l’été. Il n’empêche. La faiblesse de ce chiffre justifie-t-elle l’investissement d’argent public dans ce dispositif qui renforce encore les champs électromagnétiques pulsés subis par la population, et, s’agissant des parcs, en particulier par les enfants ? Notre association a-t-elle à s’exprimer sur ce dossier ?