Le laboratoire départemental s’est lancé récemment dans l’analyse des eaux souterraines, et l’analyse de cette nappe est une première. Les choses ont été faites de manière acrobatique tant sur le plan matériel que financier. Il s’attendait à pire concernant les teneurs en métaux, et a été surpris en bien.

Il remarque que, depuis quelques années, les choses ont bien évolué, puisque par exemple les industriels pratiquant le traitement de surface des métaux ont maintenant tous équipé leurs installations d’une station d’épuration qui évite le rejet de métaux dans le réseau. C’est le cas par exemple de Billon et d’Hanier.

Il n’existe pas de seuil pour toutes les molécules présentes dans l’eau.

Il a ressorti le document de décembre 2 006 aux conseillers généraux où nous faisions état de la liste des analyses demandées, et ces deux éléments n’y figurent pas. Il semble donc qu’il s’agisse d’une erreur de notre part. Le baryum et le bore ne figuraient que dans la demande de devis adressée au labo…D’après lui, le bore pourrait être un témoin de l’utilisation et du rejet de lessive. Quant au baryum, il ne voit pas où il pourrait être utilisé. Donc, du point de vue de notre recherche, nous n’avons rien perdu.

Il ne sait pas, mais promet de rechercher l’information et de nous la transmettre. Il exclut que cela puisse venir de chez Billon (question que nous avions posée à l’intéressé) pour deux raisons : d’abord, parce qu’il existe une station d’épuration (voir ci-dessus), ensuite parce que la nappe s’écoule vers le sud, et que les canalisations du réseau d’eaux usées coulent également vers le sud. Or, Billon se trouve au sud du puits…