Contact téléphonique avec Mr. LE BRIS

Il a bien reçu mon courrier la veille (suite auquel il m’a demandé, sur mon répondeur, de communiquer par téléphone car une réunion était impossible rapidement).

Il a essayé de m’expliquer qu’il n’y avait pas grand-chose à craindre, que globalement il suivait les recommandations de la CRIIRAD mais qu’il avait demandé que l’on double les mesures de contrôle afin de rassurer tout le monde.

Je lui ai expliqué pourquoi, pour nous, les recommandations de la CRIIRAD n’étaient pas respectées. Je lui ai demandé s’il connaissait l’endroit de la décharge Véolia.

Il m’a répondu que non mais qu’il pouvait nous le faire savoir.

Je lui ai répondu que je n’y tenais pas particulièrement mais que j’étais étonné qu’eux ne le sachent pas.

Je lui ai demandé si c'était une question de coût financier le fait qu’il n’y ait personnes pour contrôler en 3 minutes les camions.

Il m’a répondu que la terre n’était pas spécialement contaminée pour en arriver là.

Après lui avoir répondu que nous n’étions pas des fanatiques de l’anti radioactivité, je lui ai répondu que ce n’était pas trop la terre mais plutôt d’éventuels objets ou morceaux de ferraille qui pourraient l’être comme ce fut le cas avec l’extracteur d’air.

D’accord avec moi sur ce point, il s’est voulu rassurant, parlant tout de même du " principe de précaution ".

Il m’envoie quelques infos sur ce terrain, et Véolia j’espère, ainsi que sur son devenir.