CIRT
9/12/10
COMPTE RENDU DE LA
REUNION
La réunion s’est tenue en l’absence de représentant du
monde économique, comme d’habitude. Un contact avec la Chambre d’Industrie
semble positif, et à suivre pour espérer la désignation d’un représentant
es-qualité et prêt à siéger effectivement.
Journée de
formation de la FonCSI.
Vincent GINSBURGER a fait un compte rendu de cette
journée de formation auquel il a participé avec Hervé CORNE.
Exposition
FNE sur les risques industriels.
Rappelons que cette expo a été réalisée par FNE à
l’occasion du bicentenaire de la première réglementation sur les risques
industriels. Madame Taillé-Polian, ainsi que les personnels municipaux
assistant au CIRT, jugent la proposition, ainsi que le contenu de cette exposition,
très intéressants. Ils ont inscrit la dépense correspondant
aux frais de location de cette expo (1 500 euros) dans la construction
budgétaire 2 011. Nous sommes donc en attente des décisions du Conseil
Municipal. Au début de l’année 2 011, si la décision est positive, il
conviendra de voir les disponibilités de la salle culturelle de la médiathèque,
puis de reprendre contact avec FNE, pour louer l’expo et pour s’assurer de la
présence des deux intervenants qui ont d’ores et déjà donné leur
accord pour participer à une conférence-débat : Maryse ARDIT et Marc
SENANT. Il pourrait y avoir d’autres intervenants, un syndicaliste, et un
institutionnel, à voir. Le thème de cette conférence-débat doit être risques
industriels, bien sûr, mais en balayant depuis les catastrophes célèbres, les
risques majeurs, jusqu’aux risques moindres, mais toujours présents dans une
ville comme la nôtre.
L’expo serait présentée par le CIRT, ce qui
permettrait d’en faire la promotion, puisqu’à l’heure actuelle son existence et
son travail sont des plus confidentiels.
Promotion
du CIRT.
A cette occasion, nous avons fait la proposition de
rubrique dans VNV à l’occasion du compte rendu des réunions, mais aussi d’une
entrée permanente sur le site de la ville à un espace CIRT qui présenterait les
documents présentés et débattus, ainsi que les comptes rendus des réunions
Projet de
charte.
Le document qui nous a été soumis n’a pas été validé
par les instances municipales, il a été rédigé par les services sous la
supervision de Madame Taillé-Polian. C’est dire qu’il peut être sujet à des
modifications importantes, ce qui pourrait amener à réunir de nouveau le CIRT.
Par rapport à ce document, Madame Taillé-Polian
indique qu’elle souhaite voir placer en préambule ce que la municipalité a déjà
fait dans ce domaine : l’adresse aux opérateurs pour qu’il n’y ait pas
d’antennes à moins de 100 m des écoles, par sur le patrimoine public ou de
l’office public, la prudence sur le wifi, l’action de médiation à eux ou trois
reprises entre opérateurs et riverains, et la candidature à l’expérimentation
de la limitation à 0,6 V/m.
Nous avons présenté nos amendements, le sort qui leur
a été réservé se trouve dans le document joint.
En contrepartie de la signature de la charte par les
opérateurs, la municipalité s’engage à une simplification administrative dans
leurs démarches, par l’instauration d’un guichet unique.
Le débat sur le texte se poursuivra par mail, jusqu’à
une formulation définitive arrêtée par Madame Taillé-Polian et transmise au
Bureau Municipal. Il s’agira donc du texte de Madame Taillé-Polian après avis
du CIRT. On ne cherchera donc pas à nous faire porter le chapeau si certains
aspects nous déplaisent et que nous ne sommes pas parvenus à les faire
modifier.
Stations
service.
Nous avons profité de cette réunion pour demander si
la municipalité entendait donner suite à notre demande, exprimée par Michel
BENTOLILA, d’avoir communication des coordonnées des propriétaires des deux
stations fermées. Madame Taillé-Polian n’avait pas compris que la demande de
Michel était au titre de notre association, mais y accédera bien volontiers. Pour
sa part, la Ville s’est déjà adressée à ces deux propriétaires.
Nous avons appris par Monsieur Gilles MICHEL que les
obligations légales portent sur la déclaration en préfecture de la cessation
d’activité, la neutralisation et l’enlèvement des cuves. En revanche, la dépollution
des sols n’est obligatoire que si une pollution est avérée, d’ailleurs aussi
bien en cours d’activité qu’à son terme. Mais aucun contrôle systématique
n’est prévu s’il n’y a pas de pollution avérée.